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samedi 25 octobre 2025

Le rapport sur l'état de l'IA par Nathan Benaich et Air Street Capital.

Le rapport sur l'état de l'IA est l'analyse la plus consultée et la plus fiable des principales avancées de l'IA. 


Publié chaque année depuis 2018, ce rapport en libre accès vise à susciter un débat éclairé sur l'état de l'IA et son avenir. Produit par l'investisseur en IA Nathan Benaich et Air Street Capital.

Les principaux enseignements du rapport sont les suivants :


OpenAI conserve une légère avance à la frontière, mais la concurrence s’est intensifiée : Meta cède la place aux chinois DeepSeek, Qwen et Kimi, qui comblent l’écart sur les tâches de raisonnement et de codage, positionnant la Chine comme numéro 2 crédible.

L’année a été marquée par le raisonnement : les laboratoires de pointe ont combiné l’apprentissage par renforcement, les récompenses basées sur des grilles d’évaluation et le raisonnement vérifiable avec de nouveaux environnements pour créer des modèles capables de planifier, de réfléchir, de s’autocorriger et de fonctionner sur des horizons temporels de plus en plus longs.




L’IA devient un collaborateur scientifique, avec des systèmes comme Co-Scientist de DeepMind et Virtual Lab de Stanford qui génèrent, testent et valident des hypothèses de manière autonome. En biologie, ProGen3 de Profluent a montré que les lois d’échelle s’appliquent désormais également aux protéines. Le raisonnement structuré a fait son entrée dans le monde physique grâce à la planification par « chaîne d'actions », lorsque des systèmes d'IA intégrés tels que Molmo-Act d'AI2 et Gemini Robotics 1.5 de Google ont commencé à raisonner étape par étape avant d'agir.

L'attrait commercial s'est fortement accéléré. 44 % des entreprises américaines paient désormais pour des outils d'IA (contre 5 % en 2023), les contrats moyens ont atteint 530 000 $ et les startups axées sur l'IA ont connu une croissance 1,5 fois plus rapide que leurs homologues, selon Ramp et Standard Metrics.

Notre première enquête auprès des praticiens de l'IA, menée auprès de plus de 1 200 personnes, montre que 95 % des professionnels utilisent désormais l'IA au travail ou à la maison, que 76 % paient eux-mêmes leurs outils d'IA et que la plupart font état de gains de productivité soutenus, preuve que l'adoption réelle s'est généralisée.
L'ère industrielle de l'IA a commencé. Les centres de données multi-GW comme Stargate annoncent une nouvelle vague d'infrastructures de calcul soutenues par des fonds souverains des États-Unis, des Émirats arabes unis et de la Chine, l'approvisionnement énergétique devenant la nouvelle contrainte.

La politique de l'IA s'est encore durcie. Les États-Unis ont opté pour une « IA américaine d'abord », la loi européenne sur l'IA a échoué, et la Chine a étendu son écosystème de pondérations ouvertes et ses ambitions nationales en matière de silicium.
La recherche en sécurité est entrée dans une nouvelle phase, plus pragmatique. Les modèles peuvent désormais imiter l'alignement sous supervision, ce qui impose un débat sur la transparence et la capacité. Les organismes de sécurité externes, quant à eux, fonctionnent avec des budgets inférieurs à la consommation quotidienne d'un laboratoire frontalier.

Le débat sur le risque existentiel s'est apaisé, laissant place à des questions concrètes sur la fiabilité, la cyber-résilience et la gouvernance à long terme de systèmes de plus en plus autonomes.

Le rapport sur l'état de l'IA est un travail d'équipe. Je suis profondément reconnaissant à tous les membres de la communauté de l'IA qui continuent de créer les avancées qui alimentent ce travail. Un merci spécial à Zeke Gillman, Ryan Tovcimak et Nell Norman, ainsi qu'à nos nombreux relecteurs issus des secteurs de la recherche, de l'industrie et des politiques, pour leur honnêteté.

Ce rapport vise à partager les points de vue les plus intéressants et à célébrer les réalisations de la communauté de l'IA, tout en éclairant le débat sur l'état actuel de l'IA. J'aimerais connaître votre avis sur ces conclusions, votre point de vue sur nos prévisions ou vos suggestions pour l'édition de l'année prochaine.

Bonne lecture !

Nathan









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 Pierre Erol GIRAUDY 
http://about.me/giraudyerol

dimanche 21 août 2022

Analyse de qualité et performance web outil non intrusif.

Analyse de qualité et performance web outil non intrusif.


https://larselesrse.blogspot.com/
Rapport généré le 20 août 2022 19:36:18
66%
Les bases sont là.
10

Problèmes

11

Améliorations

62

Succès

Voir les priorités





Analyse performance et qualité de https://larselesrse.blogspot.com/ (dareboost.com)



Extrait du rapport (vraiment complet) :

Bonnes pratiques et conseils : Toutes les catégories.

Ce que vous pouvez améliorer : Volume de données   0/100


 

Cette page charge 3.1 Mo de données, diminuez ce poids
Le poids de votre page est important, ce qui ralentit sa vitesse d’affichage, d’autant plus sur les connexions bas débit. Cela peut également générer de la frustration pour vos internautes qui sont limités par des forfaits data (voir whatdoesmysitecost.com).

Situer le poids de ma page web
Selon HTTPArchive, en juillet 2019, le poids moyen d'une page web était de 1.95Mo.

Comment réduire le poids de ma page ?
Vous pouvez vous reporter à notre catégorie "Volume de données" pour voir quelles sont les optimisations possibles dans votre cas. De manière générale, les images sont souvent à pointer du doigt.

Veillez aussi à construire vos pages web de manière à charger d’abord ce qui est essentiel à l’internaute en priorité (optimisation du chemin critique de rendu).

Pour tout autre contenu (plugins de réseaux sociaux, publicités, contenus situés en bas de page...), il est préférable de différer le chargement (asynchrone, lazy-loading...), pour ne pas pénaliser les contenus prioritaires.

Nous vous conseillons par ailleurs fortement de définir des budgets de performance pour mener à bien vos projets web. Ces budgets sont paramétrables grâce à la fonctionnalité de monitoring de Dareboost.


Afin de vous aider à établir vos priorités d'optimisation, voici la répartition du poids de la page par type de ressources :

JavaScript : 50.00% du poids total
Images : 37.72% du poids total
Textes : 4.76% du poids total
JSON : 4.66% du poids total

CSS : 2.29% du poids total

Polices de caractères : 0.52% du poids total

Par ailleurs, voici les 50 ressources les plus lourdes qui sont téléchargées lors du chargement de votre page :

Volume de données 0/100


2 images sont redimensionnées côté navigateur
Si vos images sont plus grandes que leur zone d'affichage, le navigateur téléchargera des données inutiles et procédera à des redimensionnements disgracieux.

Éviter le redimensionnement d'images côté navigateur
Lorsqu’il souhaite afficher une image dans votre page, le navigateur fait tout son possible pour l'adapter à sa surface de rendu. Si l'image est trop grande, il la réduit.

Fournissez directement vos images aux dimensions d'affichage utilisées sur votre site. Vous évitez ainsi l'envoi de données inutiles sur le réseau, ce qui diminue le temps de chargement de la page.

Comme les algorithmes embarqués dans les navigateurs ne sont pas aussi bons que ceux des outils dédiés à la manipulation d’images, vous obtiendrez un résultat visuel plus satisfaisant en redimensionnant vos images en amont, plutôt qu’en laissant le navigateur le faire.

Utiliser des Images Adaptatives (Responsive)
Plusieurs méthodes existent, permettant de servir des images adaptées au navigateur quelle que soit la résolution de l’écran ou la densité de pixels du matériel. Nous vous conseillons de lire les ressources suivantes :

"Images adaptatives", sur le Mozilla Developer Network (MDN)
Picturefill, permet d’utiliser l'élément <picture> dans des navigateurs qui ne le supportent pas encore (EN)
RICG, groupe de travail sur les images responsive (EN)
Ne redimensionnez pas les images suivantes :

blogger.googleusercontent.c[...]0(267).png (taille d'affichage : 250x141)
docs.microsoft.com/fr-fr/sy[...]t-main.png (taille d'affichage : 570x365)
Sur cette page, 2 images sont redimensionnées de moins de 40 % de leur taille. Plusieurs techniques de Responsive Web Design reposent sur le redimensionnement d'images dont les tailles sont proches de leurs surfaces de rendu respectives. Il est donc possible que des redimensionnements de ce type soit désirés, et nous ne les pénalisons pas. Cependant, nous vous invitons à vous assurer qu'il n'affecte pas les performances de la page :

www.gstatic.com/images/bran[...]e_24dp.png (taille d'affichage : 20x20)
www.gstatic.com/images/bran[...]2x16dp.png (taille d'affichage : 37x14)
Pour en savoir plus sur l’optimisation des images, vous pouvez lire cet article sur le sujet.



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Pierre Erol GIRAUDY