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jeudi 9 février 2023

Why ‘the future of AI is the future of work’

Why ‘the future of AI is the future of work’ https://mitsloan.mit.edu/ideas-made-to-matter/why-future-ai-future-work via @MITSloan

"In a world of robotics, as the digital world increasingly mixes with the physical world, Brooks argues for a new standard for AGI: the ability to do complex work tasks that require other types of interaction with the world. One example might be the work of a home health aide. These tasks include providing physical assistance to a fragile human, observing their behavior, and communicating with family and doctors. Brooks’ idea, whether embodied in this particular job, a warehouse worker’s job, or other kinds of work, captures the sense that today’s intelligence challenges are problems of physical dexterity, social interaction, and judgment as much as they are of symbolic data processing. These dimensions remain out of reach for current AI, which has significant implications for work. Pushing Brooks’ idea further, we might say that the future of AI is the future of work."

Excerpted from The Work of the Future: Building Better Jobs in an Age of Intelligent Machines by David AutorDavid A. Mindell and Elisabeth B. Reynolds. Reprinted with permission from the MIT PRESS. Copyright 2022.

The ability to adapt to novel situations is still a challenge for "AI and robotics and a key reason why companies continue to rely on human workers for a variety of tasks."

Autor, Mindell, and Reynolds Authors, "Work of the Future"
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Why the United States lags behind other industrialized countries in sharing the benefits of innovation with workers and how we can remedy the problem.
The United States has too many low-quality, low-wage jobs. Every country has its share, but those in the United States are especially poorly paid and often without benefits. Meanwhile, overall productivity increases steadily and new technology has transformed large parts of the economy, enhancing the skills and paychecks of higher-paid knowledge workers. What's wrong with this picture? Why have so many workers benefited so little from decades of growth? The Work of the Future shows that technology is neither the problem nor the solution. We can build better jobs if we create institutions that leverage technological innovation and also support workers though long cycles of technological transformation.
Building on findings from the multiyear MIT Task Force on the Work of the Future, the book argues that we must foster institutional innovations that complement technological change. Skills programs that emphasize work-based and hybrid learning (in person and online), for example, empower workers to become and remain productive in a continuously evolving workplace. Industries fueled by new technology that augments workers can supply good jobs, and federal investment in R&D can help make these industries worker-friendly. We must act to ensure that the labor market of the future offers benefits, opportunity, and a measure of economic security to all.
The Work of the Future (mit.edu)
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 Pierre Erol GIRAUDY 


mercredi 8 février 2023

Yes, We Are At A Tipping Point: ChatGPT Is Just The Beginning Of How AI ...

Yes, We Are At A Tipping Point: ChatGPT Is Just The Beginning Of How AI ...

dimanche 22 janvier 2023

Qu'est ce que ChatGPT et comment l'utiliser ?

Qu'est-ce que ChatGPT et comment l'utiliser ?

mardi 13 septembre 2022

Gouvernance et Disruption

Gouvernance et Disruption quel liens ?

Le concept est rapproché de la destruction créatrice théorisée par Joseph Schumpeter. Clayton M. Christensen estime toutefois que « la vision de Schumpeter de l'innovation comme processus de « destruction créatrice » était avant tout descriptive. La causalité n'est pas celle proposée par Schumpeter. Si la destruction l'emporte sur la création, c'est parce que nous n'investissons pas assez de capital dans les innovations disruptives ».



L'innovation disruptive pour relancer la croissance en panne ?

Oui, mais à condition de ne pas en avoir peur au prétexte qu'il semble à court terme négatif pour les emplois existants. La disruption permet de faire émerger de nouveaux modèles et crée des marchés plus vastes en rendant moins chers et plus accessibles des produits et des services là où il y a des rentes de situation ou des oligopoles non transparents. C'est une transformation fondamentale, radicale et irréversible du système capitaliste. Les disrupteurs sont des innovateurs qui cherchent des solutions aux problèmes qu'ils rencontrent.

Cela suppose une nouvelle forme de Gouvernance et d'innovations.

L’idée de « disruption » s’appuie ainsi sur un postulat (un point de départ jamais interrogé) selon lequel l’innovation, la nouveauté, le changement sont positifs en soi, et que tout ce qui vient « brider » ce changement est affreux, irrationnel et coupable. D’ailleurs, le changement ne relève pas d’une décision, mais d’un phénomène aussi nécessaire que les lois de la nature. Il s’agit donc bien plutôt « d’accompagner » ce changement que d’essayer de le freiner ou de l’orienter.

Innovation de rupture

L'innovation perturbatrice, un terme technique inventé par Clayton Christensen, décrit un processus par lequel un produit ou un service prend initialement racine dans des applications simples au bas d'un marché, puis monte sans relâche sur le marché, supplantant finalement les concurrents établis.

Cependant, ce faisant, les entreprises ouvrent involontairement la porte à des "innovations de rupture" au bas du marché. 

Une innovation disruptive permet à une toute nouvelle population de consommateurs au bas d'un marché d'accéder à un produit ou un service qui n'était historiquement accessible qu'aux consommateurs disposant de beaucoup d'argent ou de beaucoup de compétences.

Les caractéristiques des entreprises perturbatrices, du moins dans leurs phases initiales, peuvent inclure : des marges brutes plus faibles, des marchés cibles plus petits et des produits et services plus simples qui peuvent ne pas sembler aussi attrayants que les solutions existantes par rapport aux mesures de performance traditionnelles. 

Parce que ces niveaux inférieurs du marché offrent des marges brutes plus faibles, ils ne sont pas attrayants pour les autres entreprises qui montent sur le marché, créant un espace au bas du marché pour l'émergence de nouveaux concurrents perturbateurs.

Les 15 disruptions dont vous allez entendre parler

Dans sa définition originale, on appelle "disruption" une fracture, une rupture. Elle désigne, en économie, le bouleversement d'un marché, d'un secteur d'activité généralement du fait du développement des nouvelles technologies. Agriculture, finance, mobilités, santé ou encore défense, voici les 15 disruptions dont vous allez entendre parler. Voir le lien en bas de page.

La sérendipité, qu'est-ce que c'est ?

L'un des concepts favoris des anglosaxons, "serendipity", est introduit dans le langage en 1945 par le sociologue américain Merton, et n'entre dans le Larousse en français qu'en 2012. Il désigne le fait de trouver quelque chose qui n'était pas initialement prévu par la recherche, et d'en tirer parti. Une sorte de hasard heureux, qui ne relève pas uniquement de la chance, puisqu'il est provoqué par une démarche quelconque, et s'associe à une certaine sagacité pour en tirer le bénéfice.

Exemple du NUMÉRIQUE :

De l'intelligence artificielle à l'ordinateur quantique.

L'apprentissage machine et l'apprentissage profond dopent le marketing prédictif, la cybersécurité et les fintech. L'apprentissage par renforcement réalise désormais des opérations qu'aucun programmeur ne pourrait leur apprendre. BMW, Google, Mobileye et Intel s'en servent pour optimiser le véhicule autonome. Réseaux de neurones, arbres de décision, forêts aléatoires, algorithmes génétiques... les technologies de l'intelligence artificielle vont sans cesse se combiner pour s'immiscer par tous les pores du numérique. Après l'IA gloutonne en données, place à l'IA frugale.

Autre disruption attendue, à moyen terme, les ordinateurs quantiques, auxquels croient Google, IBM, Intel ou Microsoft, promettent des puissances de calcul délirantes. Problème, ces systèmes sont physiquement instables. QuTech, un institut de recherche néerlandais, pense s'approcher du Graal avec des quasi-particules, découvertes en 2012, qui permettraient de fabriquer des circuits électroniques quantiques sur des puces en silicium classiques.

S’il n’est pas question de faire machine arrière et de renoncer aux progrès de la technologie, peut-être faudrait-il prendre le temps de les intégrer, de les « digérer », de les mettre au service de l’humain. Se rappeler qu’avant d’être « disruptif », de « penser différemment », il faut commencer par penser, tout court.

Source :




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Les 15 disruptions dont vous allez entendre parler (latribune.fr)










Clayton Christensen
@claychristensen
Professor . Author of #ProsperityParadox. Cofounder & Rose Park Advisors. Member . Husband & father.







MACROSCOPE

Le néologisme permet de s'accorder sans heurt aux différentes approches d'une science nouvelle qui étudie les systèmes, la systémique, mais qui reste divisée en plusieurs chapelles, chacune ayant une origine distincte, un vocabulaire propre, voire des approches différentes.

Probablement rattaché à la cybernétique aux États-Unis dans les années 1950[citation nécessaire], cet ouvrage serait aujourd'hui qualifié d'approche systémique (ou par l'analyse systémique) à la réunion des sciences.

« Macroscope » est un jeu de mots se référant à la théorie des trois infinis :

l'infiniment petit : observable par un microscope ;
l'infiniment grand : observable par un télescope ;
l'infiniment complexe : observable par un « macroscope », « un instrument symbolique fait de méthodes et de techniques empruntées à des disciplines très différentes. »

À la méthode analytique classique, Joël de Rosnay propose une approche complémentaire, l'approche systémique.

Pour Joël de Rosnay, l’approche systémique obéit à dix commandements qu’il décrit dans le chapitre 2 « La révolution systémique : une nouvelle culture » :

Conserver la variété ;
  1. Ne pas « ouvrir » les boucles de régulation (respect des cycles naturels) ;
  2. Rechercher les points d'amplification (points sensibles, maillon faible, goulot d'étranglement) ;
  3. Rétablir les équilibres par la décentralisation ;
  4. Savoir maintenir les contraintes (les limites) ;
  5. Différencier pour mieux intégrer ;
  6. Pour évoluer : se laisser agresser (adaptation) ;
  7. Préférer les objectifs à la programmation détaillée ;
  8. Savoir utiliser l'énergie de commande (répartition de l'information) ;
  9. Respecter les temps de réponse.

Amazon.fr: Joël de Rosnay: Livres, Biographie.

Amazon.fr - Je cherche à comprendre: Les codes cachés de la nature.



DISRUPTION MAGAZINE 


DISRUPTION MAGAZINE Published by Connection Silicon Valley

Les Journées Impact & Innovation 2022 - ONLINE

Magazine Archive • Disruption Banking

Presse - Deloitte. Performance Magazine - Disruption A new way to generate alpha | CPR Asset Management | Solutions d'investissement (cpr-am.fr)

Join The Disrupt Nation Today! (disruptvip.com)


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Pierre Erol GIRAUDY 

dimanche 21 août 2022

Analyse de qualité et performance web outil non intrusif.

Analyse de qualité et performance web outil non intrusif.


https://larselesrse.blogspot.com/
Rapport généré le 20 août 2022 19:36:18
66%
Les bases sont là.
10

Problèmes

11

Améliorations

62

Succès

Voir les priorités





Analyse performance et qualité de https://larselesrse.blogspot.com/ (dareboost.com)



Extrait du rapport (vraiment complet) :

Bonnes pratiques et conseils : Toutes les catégories.

Ce que vous pouvez améliorer : Volume de données   0/100


 

Cette page charge 3.1 Mo de données, diminuez ce poids
Le poids de votre page est important, ce qui ralentit sa vitesse d’affichage, d’autant plus sur les connexions bas débit. Cela peut également générer de la frustration pour vos internautes qui sont limités par des forfaits data (voir whatdoesmysitecost.com).

Situer le poids de ma page web
Selon HTTPArchive, en juillet 2019, le poids moyen d'une page web était de 1.95Mo.

Comment réduire le poids de ma page ?
Vous pouvez vous reporter à notre catégorie "Volume de données" pour voir quelles sont les optimisations possibles dans votre cas. De manière générale, les images sont souvent à pointer du doigt.

Veillez aussi à construire vos pages web de manière à charger d’abord ce qui est essentiel à l’internaute en priorité (optimisation du chemin critique de rendu).

Pour tout autre contenu (plugins de réseaux sociaux, publicités, contenus situés en bas de page...), il est préférable de différer le chargement (asynchrone, lazy-loading...), pour ne pas pénaliser les contenus prioritaires.

Nous vous conseillons par ailleurs fortement de définir des budgets de performance pour mener à bien vos projets web. Ces budgets sont paramétrables grâce à la fonctionnalité de monitoring de Dareboost.


Afin de vous aider à établir vos priorités d'optimisation, voici la répartition du poids de la page par type de ressources :

JavaScript : 50.00% du poids total
Images : 37.72% du poids total
Textes : 4.76% du poids total
JSON : 4.66% du poids total

CSS : 2.29% du poids total

Polices de caractères : 0.52% du poids total

Par ailleurs, voici les 50 ressources les plus lourdes qui sont téléchargées lors du chargement de votre page :

Volume de données 0/100


2 images sont redimensionnées côté navigateur
Si vos images sont plus grandes que leur zone d'affichage, le navigateur téléchargera des données inutiles et procédera à des redimensionnements disgracieux.

Éviter le redimensionnement d'images côté navigateur
Lorsqu’il souhaite afficher une image dans votre page, le navigateur fait tout son possible pour l'adapter à sa surface de rendu. Si l'image est trop grande, il la réduit.

Fournissez directement vos images aux dimensions d'affichage utilisées sur votre site. Vous évitez ainsi l'envoi de données inutiles sur le réseau, ce qui diminue le temps de chargement de la page.

Comme les algorithmes embarqués dans les navigateurs ne sont pas aussi bons que ceux des outils dédiés à la manipulation d’images, vous obtiendrez un résultat visuel plus satisfaisant en redimensionnant vos images en amont, plutôt qu’en laissant le navigateur le faire.

Utiliser des Images Adaptatives (Responsive)
Plusieurs méthodes existent, permettant de servir des images adaptées au navigateur quelle que soit la résolution de l’écran ou la densité de pixels du matériel. Nous vous conseillons de lire les ressources suivantes :

"Images adaptatives", sur le Mozilla Developer Network (MDN)
Picturefill, permet d’utiliser l'élément <picture> dans des navigateurs qui ne le supportent pas encore (EN)
RICG, groupe de travail sur les images responsive (EN)
Ne redimensionnez pas les images suivantes :

blogger.googleusercontent.c[...]0(267).png (taille d'affichage : 250x141)
docs.microsoft.com/fr-fr/sy[...]t-main.png (taille d'affichage : 570x365)
Sur cette page, 2 images sont redimensionnées de moins de 40 % de leur taille. Plusieurs techniques de Responsive Web Design reposent sur le redimensionnement d'images dont les tailles sont proches de leurs surfaces de rendu respectives. Il est donc possible que des redimensionnements de ce type soit désirés, et nous ne les pénalisons pas. Cependant, nous vous invitons à vous assurer qu'il n'affecte pas les performances de la page :

www.gstatic.com/images/bran[...]e_24dp.png (taille d'affichage : 20x20)
www.gstatic.com/images/bran[...]2x16dp.png (taille d'affichage : 37x14)
Pour en savoir plus sur l’optimisation des images, vous pouvez lire cet article sur le sujet.



Autres  outils





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Pierre Erol GIRAUDY 


Les outils indispensables du Community Manager Google Analytic outil non intrusif.

Les outils indispensables du Community Manager : Google Analytic.


 Outils : - Canva - Repost pour Instagram  - Lumen5 - Hootsuite  - Buffer - Google Drive - Trello - Mailchimp - Bitly - #GoogleAnalytics  - Google Alerts  - Mention - Heepsy - Pearltrees - Scoop.it - Feedly - Pocket - Evernote - Wordpress - Piktochart...

La première étape consiste à se connecter sur le site https://analytics.google.com, puis de créer un compte #gratuit sur celui-ci.
  1.  Il vous sera demandé à un moment ou un autre d’installer un code javascript sur votre site Internet pour faire la connexion entre ce dernier et #Google #Analytics.
  2. Si vous utilisez Wordpress, ajoutez ce code dans les paramètres de votre thème. Sinon, ajoutez-le dans le header de votre site Internet (partie haute), afin que ce code se charge sur toutes les pages de votre site.
  3.  Ensuite, en fonction du trafic que vous générerez sur votre site, Google Analytics commencera à récupérer de la donnée sur vos visiteurs et les pages fréquentées.







Autres outils : 



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Pierre Erol GIRAUDY 
http://about.me/giraudyerol


Audit non intrusif WebRankInfo Prestations en Référencement.

WebRankInfo ; Prestations en Référencement, Google Analytics et Google AdWords.

Audit de référencement, web #analytics et google #adwords réalisées avec des outils spécialisés et par des experts de l'équipe Ranking Metrics.

Votre audit est lancé ! Nous vous préviendrons par email lorsqu’il sera disponible.

En attendant de le recevoir, nous vous conseillons de prendre le temps de lire les informations ci dessous :

  • L’audit gratuit que vous venez de lancer vous permettra d’obtenir un rapport de synthèse vous indiquant dans les grandes lignes le degré d’optimisation du référencement du site.
  • Bien entendu, la version payante donne accès à un rapport d’audit complet, avec toutes les explications et toutes les données (annexes Excel et CSV). Consultez notre exemple de rapport d’audit SEO en version complète.
  • Connaissez vous notre méthode d’analyse SEO des pages zombies ? Si ce n’est pas déjà fait, nous vous recommandons de lire notre article : La méthode Pages zombies SEO avec RM Tech.
  • Nous faisons du SEO depuis 1997 et avons compris que le partage de la connaissance nous fait tous grandir. C’est pourquoi nous diffusons de nombreux conseils sur notre site WebRankInfo (depuis 2002) et avons formé au SEO des milliers de professionnels (depuis 2006). C’est dans cette logique que nous vous proposons un guide très détaillé qui explique comment faire un audit de référencement naturel.

À quoi ressemble un rapport d'#audit ?

Plutôt qu’un long discours, le plus efficace est de vous donner accès en 1 clic à un rapport d’audit complet. Consultez 

notre modèle de rapport d’audit SEO
un rapport d’analyse de sitemap
un audit de la pagination et du maillage interne
Comment faire un audit soi-même ?
Nous faisons du SEO depuis 1997 et avons compris que le partage de la connaissance nous fait tous grandir. C’est pourquoi nous diffusons de nombreux conseils sur WebRankInfo (depuis 2002) et avons formé au SEO des milliers de professionnels (depuis 2006).

C’est dans cette logique que nous vous proposons un guide très détaillé qui explique comment faire un audit de référencement naturel.


RM Tech, l'audit SEO qui fait parler la data ! My Ranking Metrics

https://myrankingmetrics.com/home


Ceci est un exemple de rapport d'audit de référencement, généré par l'outil Audit RM Tech de la plateforme My Ranking Metrics. Il s'agit d'un rapport d'audit réel qui a été anonymisé (certains liens ne sont pas actifs pour cette version).


https://myrankingmetrics.com/rapports/rm-tech.html


Objectif de ce rapport

Ce document a pour objectif de vous présenter les résultats de l'audit SEO de votre site. Vous y trouverez une série de recommandations avec de nombreuses explications, ainsi que des annexes contenant la liste exhaustive de tous les éléments à améliorer sur votre site.

L'audit de votre site a porté sur 10 269 URL ainsi que sur 25 560 images distinctes (25 131 images sont hébergées sur example.com et 611 sur d'autres sites).

Toutes les analyses qui en découlent doivent donc être considérées en fonction de l'état du site ce jour-là. Pour voir les conditions de l'analyse, cliquez ici.
Vous trouverez à la fin de ce rapport des explications techniques sur le fonctionnement de notre outil ainsi que des définitions des termes utilisés dans le jargon du référencement naturel (SEO).

Les données sont disponibles sous forme exhaustive dans des fichiers annexes au format Excel ainsi qu'au format TSV (Tab-separated values) que vous pouvez facilement ouvrir dans Excel ou tout autre tableur.

Vous pouvez télécharger l'ensemble de ces fichiers annexes dans un seul fichier au format ZIP.


Signification des termes SEO


Voici les principaux termes utilisés dans le jargon du référencement naturel (SEO) et notamment dans ce rapport d'audit. Vous trouverez des liens vers des articles qui détaillent les notions correspondantes :

HTTP et HTTPS : HTTP est le protocole standard d'accès à des documents sur le web, tandis que HTTPS est la version sécurisée (transmission cryptée). Une URL en HTTP et la même en HTTPS sont considérées comme 2 URL distinctes.

Google Search Console : interface proposée par Google pour fournir au webmaster plusieurs informations concernant son site dans Google (problèmes de crawl ou d'indexation, pénalités, etc.). En savoir plus : site officiel, dossiers WebRankInfo. Bing propose la même chose (voir ici).

URL indexable : il s'agit d'une URL qui ne présente aucun obstacle technique pour que Google l'indexe. Il faut qu'elle ne soit pas bloquée au crawl (dans le fichier robots.txt) et qu'elle soit accessible (donc que le code HTTP renvoyé par le serveur soit 200) et qu'elle ne soit pas interdite d'indexation (via la balise meta robots noindex ou un entête HTTP X-Robots-Tag) et qu'elle ne contienne pas d'URL canonique différente. En général, une URL indexable est indexée par Google (mais ce rapport ne le vérifie pas). En savoir plus : dossiers WebRankInfo.

URL canonique : il s'agit de l'URL officielle d'une page. On l'utilise surtout dans le cas où un même contenu est disponible à plusieurs URL (dans ce cas pour ces différentes URL on indique quelle est l'URL officielle). En savoir plus : aide Google, dossiers WebRankInfo.

Fichier robots.txt : situé à la racine de chaque sous-domaine, il liste les éventuels endroits du site pour lesquels tous ou certains robots n'ont pas le droit de venir crawler. En savoir plus : aide Google, spécifications Google, dossiers WebRankInfo.

Balise meta robots : cette balise permet de restreindre les robots tels que Googlebot pour leur interdire par exemple d'indexer la page (noindex) ou de tenir compte des liens présents sur la page (nofollow). En savoir plus : aide Google, dossiers WebRankInfo.
En-tête HTTP X-Robots-Tag : pour les documents non HTML, il n'est pas possible d'utiliser une balise meta robots. On peut dans ce cas passer des instructions par l'entête HTTP. En savoir plus : aide Google, dossiers WebRankInfo.

Redirection (301 ou 302) : on parle de redirection d'une URL A vers une URL B quand, en cherchant à accéder à A, le serveur nous renvoie vers B. En référencement, il faut privilégier la redirection permanente (code HTTP 301) dans la majorité des cas. Il existe de nombreux moyens de gérer les redirections. En savoir plus : aide Google, dossiers #WebRankInfo.
Sitemap : un fichier sitemap liste des URL que l'on souhaite faire crawler par les moteurs de recherche (en général pour qu'ils indexent les URL concernées). Ce n'est pas obligatoire mais ça peut aider à accélérer le crawl ou dans le suivi du référencement. En savoir plus : aide #Google, dossiers WebRankInfo.

Lien nofollow : si une page A fait un lien nofollow vers une page B, alors les moteurs de recherche feront comme si ce lien n'existe pas. En d'autres termes, la page B ne bénéfice d'aucun avantage (ou inconvénient) de recevoir un lien depuis A. Google impose que les liens commerciaux soient en nofollow, par le biais d'un attribut rel=nofollow sur la balise A (liens vendus, liens affiliés). En savoir plus : aide Google, dossiers WebRankInfo.


FAQ



Autres outils :




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Pierre Erol GIRAUDY 
http://about.me/giraudyerol